Lorsque ceux-ci omettent le “fact checking”, la catastrophe éditoriale n’est pas loin. Nicolas Pontic, Koursk. Entre 50 et 60 millions d’obus furent tirés. Oui, la Wehrmacht est passée à deux doigts de la victoire. Au soir du 1er juillet 1916, les Britanniques déplorèrent 20.000 tués pour un gain de… 7,8 km². L’US Strategic Bombing Survey, assigné après la guerre à analyser les différents types d’attaques contre les navires américains, souligna que “l’avion suicide était de loin l’arme la plus efficace inventée par les Japonais contre les vaisseaux de surface. article «Battle of Kursk» de l'Encyclopædia Britannica, extrait: The Battle of Kursk was the largest tank battle in history, involving some 6,000 tanks, 2,000,000 troops, and 4,000 aircraft. Bataille décisive qui met fin aux Cent-Jours et à l'épopée napoléonienne, cette bataille qui scelle la campagne de Belgique a déterminé le sort de l'Europe jusqu'à la Première Guerre mondiale Le bilan humain est terrible : 9 500 morts et plus de 30 000 blessés, près de 4 000 disparus. La bataille de Koursk, tournant de la Seconde Guerre mondiale Apocalypse : la Deuxième Guerre mondiale. Les forces en présence sont impressionnantes : trois armées allemandes regroupant 800 000 hommes, soit 70 divisions (50 divisions dont 19 blindées et motorisées, et 20 divisions de réserve) et 2 700 chars se lancent à l’assaut de trois armées blindées de 3 600 chars et d’une armée d’infanterie regroupant 1,3 millions d’hommes, soit 2 millions de combattants sur un front long de 270 km. La mémoire collective retiendra sans doute les exactions commises contre les populations civiles : crimes de guerre japonais en Extrême-Orient, extermination des Juifs d’Europe, génocide arménien en Turquie, massacre des Tutsis au Rwanda, anéantissement des villes de Dresde, Hiroshima et Nagasaki, etc. Détail notable : l’apparition sur le champ de bataille d’un nouveau lance-roquettes mobile côté russe, baptisé “Katioucha” ; en raison de son bruit strident, les Allemands le surnomment “orgue de Staline”. jeudi 20 septembre 2007, par HistoireDuMonde.net. Malgré des lacunes au niveau du matériel et des systèmes d’armes, les stratèges soviétiques comprennent enfin le maniement et l’avantage des armées combinées (comprenant des unités qui se soutiennent mutuellement : artillerie, infanterie, blindés, aviation…).” (in Nicolas Pontic, Koursk. On dirait que quelqu’un marche dans la ville et frappe les toits de son bâton. La ville fut prise en tenaille par les Finlandais au nord et les Allemands au sud ; le siège dura 870 jours. - Bataille de la Somme : au soir du 1er juillet, premier jour de l’offensive, les Britanniques déplorent 20.000 tués ; c’est le jour le plus meurtrier de l’histoire du Royaume-Uni. Début 1943, la 6eme Armée de Paulus est encerclée par sept armées soviétiques ; elle végète alors dans une poche de 60 km de large : 275.000 hommes sont pris au piège. Bénéficiez, vous aussi de tous les avantages du Club Canal Académie, des exclusivités, des services, des privilèges... Créez votre compte pour moins de 2 euros par mois, Etablissements scolaires : tarifs préférentiels -, https://www.canalacademie.com/emissions/hist530.mp3, https://www.canalacademie.com/ida3833-Koursk-la-plus-grande-bataille-de-materiel-de-l-histoire.html, Académie des inscriptions et belles-lettres, Académie des sciences morales et politiques. La Wechmacht est au maximum de sa puissance. 500.000 soldats américains et britanniques y participèrent (pilotes, marins, etc.). L'échec de la pince Nord est déjà consommé depuis quelques temps. Certains développèrent de graves troubles psychiatriques post-traumatiques ; ce sera le syndrome de… l’obusite. Une fois la ville encerclée, près de 100.000 soldats Allemands et Hongrois - ainsi que 800.000 civils -, furent pris au piège entre ses murs. 8 Aout 2017, par Jeremie Dardy | Histoire. Les Allemands firent quelque 9 000 prisonniers soviétiques et en tuèrent 23 000 autres. La bataille de KOURSK. Fait insolite : un lion s’échappera du zoo dévasté et s’abritera plusieurs semaines dans les tunnels du métro. Le savon, la vaseline et la colle devinrent des produits alimentaires. 80% de l’habitat sera détruit, mais les panzers s’enliseront dans les ruines de la ville. Envoyez vos candidatures. De 8 000 à 10 000 français sont faits prisonniers. Cornelius Ryan, La Dernière bataille : 2 mai 1945, la chute de Berlin, Tallandier, 1995, Pierre Vallaud, La Seconde Guerre Mondiale, Tome 4 - A l'assaut de l'Europe, 1944-1945, Acropole, 2002, Vassili Tchouïkov, Berlin 1945 : De Stalingrad à Berlin, Laville Editions, 1968, David M. Glantz, Barbarossa Derailed : The Battle for Smolensk 10 July-10 September 1941 - Volume 2 : The German Offensives on the Flanks and the Third Soviet Counteroffensive, 25 August-10 September 1941, Helion and Company, 2010, Robert Kirchubel, Atlas of the Eastern Front : 1941-45, Osprey Publishing, 2016, Michael Olive, Robert Edwards, Operation Barbarossa and the Eastern Front 1941, Pen & Sword Military, 2012, Yves Buffetaut, Moscou 1941, Ysec Editions, 2015, Paul Carell, Hitler’s War On Russia AKA Hitler Moves East, Aberdeen Books ,2009, Andrew Nagorski, La bataille de Moscou, Perrin, 2011, Janusz Piekalkiewicz, Moscow 1941: The Frozen Offensive, Arms & Armour P, 1985, Nicolas Bernard, La Guerre du Pacifique, Tallandier, 2016, John Costello, La guerre du Pacifique, Des origines à Hiroshima, Pygmalion, 1981, George Feifer, Battle of Okinawa: The Blood And The Bomb, Lyons Press, 2011, Robert Leckie, Okinawa : The Last Battle of World War II, Penguin Books, 1996, Daniel Marston, The Pacific War Companion, From Pearl Harbor to Hiroshima, Oxford, Osprey, 2005, Constance Sereni, Pierre-François Souyri, Kamikazes, Flammarion, 2015, Eugene B. Sledge, With the Old Breed, at Peleliu and Okinawa, Ebury, 1981, Ronald H. Spector, La Guerre du Pacifique 1941-1945, Albin Michel, 1984, Stephen R. Taaffe, Marshall and His Generals : U.S. Army Commanders in World War II, University Press of Kansas, 2011, Colonel Hiromichi Yahara, The Battle For Okinawa, Wiley, 1973, Magazine L’Histoire, Asie-Pacifique, l’autre guerre mondiale, 1931-1945, juillet-août 2015, Lee Baker, The Second World War on the Eastern Front, Londres-New-York, Pearson Longman, 2009, Philippe Guillemot, Des batailles et des hommes : Hongrie 1944-1945, Histoire & Collections, 2011, Jean-Philippe Liardet, Aux portes du Reich, batailles pour la Hongrie, 2e Guerre mondiale, mai-juillet 2013, numéro 32, Georg Maier, Drama between Budapest and Vienna - The Final Battle of the 6th Panzerarmee 1945, J.J. Fedorowicz Publishing Inc., 1985, Krisztian Ungvary, Battle for Budapest : 100 Days in World War II, I.B.Tauris, 2011, Anthony Tucker-Jones, The Battle for Budapest 1944-1945 : Rare Photographs from Wartime Archives, Pen and Sword, 2017. Certains conflits sur cette liste de batailles majeures n'ont duré que des jours tandis que d'autres ont duré des mois ou des années. Pour nous contacter, “Nous nous sommes battus à coups de mortier, de grenades, de fusils, de baïonnett. Le siècle des Guerres mondiales). Version vectorielle. À Koursk, en 1943, les Russes se sont imprudemment enfoncés dans le dispositif allemand. Alors qu’ils n’ont été utilisés que sur une période de dix mois, au cours d’une guerre qui en a duré 44, les avions-suicides ont été responsables de 48,1% de tous les dégâts infligés à des vaisseaux de guerre américains, et de 21,3% des navires coulés pendant la guerre.” (in L’Histoire, Asie-Pacifique, l’autre guerre mondiale, 1931-1945, 2015). L’historien Frieser affirme que les Allemands recensèrent seulement 9 000 morts. - Bataille de Koursk : la plus grande bataille de matériel de l’Histoire engagea 3 millions d’hommes, 8.000 chars et 5.000 avions. La planification du Débarquement suscita de vives tensions e… Nous nous bombardions avec des grenades au milieu des explosions, des nuages de poussière et de fumée…” (in John Keegan, La Deuxième Guerre mondiale). En mai 2015, France Télévisions titrait pour un reportage : “Retour sur la bataille de Berlin, la plus sanglante de la Seconde Guerre mondiale”. La dénonciation juive des crimes d'Israël est pourtant une réalité. Non encore, l’espionnage n’explique pas le succès de l’Armée rouge. Seule la fougue des généraux allemands Guderian et Hoth, obnubilés par la prise de la capitale russe, laissa s’enfuir de nombreuses unités ennemies. Dix mois. Les Allemands sont vainqueurs, mais épuisés. - À Leningrad, le nombre de morts civils dépassa le nombre de militaires Américains, Britanniques et Français tués pendant la totalité de la guerre. Les chiffres soviétiques quant à eux recensèrent 45 000 morts et capturés. Staline avait ordonné : “Plus un seul pas en arrière”. Contactez webmaster@canalacademie.com. La bataille de Koursk constitue la plus grande bataille de chars de l'histoire. 8) Bataille de Moscou (2 octobre 1941-janvier 1942) : 160 000 à 205 000 morts. La bataille près de Rjev, une petite ville du Nord-Ouest de la Russie, n'a pas été un triomphe pour l'Armée rouge. 60 kilomètres. Le front de Voronej qui leur fait face est moins puissant que le front central du fait de l'erreur d'appréciation de la Stavka, et il est attaqué par les meilleures unités de la Wehrmacht et de la Waffen-SS. Surnommée “pluie de fer” au Japon et “typhon d’acier” aux États-Unis, c’est la plus importante opération alliée dans le Pacifique. Israël et les Etats-Unis ont-ils toujours marché main dans la main? Appuyé sur les derniers travaux américains, allemands et russes, cet ouvrage décape la vision de la bataille de Koursk, en démonte les mythes et les légendes. Ce livre souligne les progrès opérationnels des Soviétiques, leur supériorité dans la planification stratégique, leur maîtrise de la maskirovka, cet art de tromper l’ennemi sur ses buts véritables. La guerre de Sécession constitue un moment charnière de l'histoire des Etats-Unis. En outre, la “maskirovka” ou l’art du camouflage, induit en erreur les Allemands sur les plans véritables des Russes. Appuyé sur les derniers travaux américains, allemands et russes, cet ouvrage décape la vision de la bataille de Koursk, en démonte les mythes et les légendes. Après la bataille, 40% des morts français ne purent être restitués à leur famille faute de restes identifiables. es, pour la possession d’une seule maison (…) D’étage en étage, des visages noirs de suie. Certaines des batailles se sont distinguées par les pertes matérielles telles que les chars ou les porte-avions, tandis que d'autres se sont distinguées par le nombre de pertes humaines ou par l'effet politique et culturel de la bataille sur les combattants. C’est la fin de la Blitzkrieg.” (in Yves Buffetaut, Moscou 1941, ed. La bataille de Dunkerque fera 40 000 morts, environ 20 000 dans chaque camp. Suite à cette défaite, la Wehrmacht ne parvint plus jamais à reprendre l’offensive sur le front russe, contrainte de subir dès lors une poussée continue, parsemée de défaites allemandes et de victoires russes successives qui allaient conduire à la libération du territoire soviétique de l’occupation nazie puis à la conquête de Berlin par l’Armée rouge. Nicolas Bernard, spécialiste de la Deuxième Guerre mondiale, considère que la prise de Stalingrad n’aurait, de toute façon, pas été décisive : “Cela aurait - tout au plus - permis à la 6e armée de constituer un glacis défensif plus solide entre Don et Volga (…) L’essentiel - l’or noir caucasien - serait resté possession soviétique, et la victoire de l’Armée rouge simplement retardée” (in Nicolas Bernard, La guerre germano-soviétique, 1941-1943). Bataille de Koursk. Staline défie Hitler - 5 juillet - 23 août 1943, Tallandier, 2015
3) Bataille de La Somme (1er juillet-18 novembre 1916) : 436.000 morts. Philippe Richardot, Hitler face à Staline - Le front de l’Est 1941-1945, Belin, 2013, Dennis E. Showalter, Armor and Blood : The Battle of Kursk, The Turning Point of World War II, Random House, 2013, Edith Desrousseaux de Medrano, Dans la bataille : Verdun 1916, Editions Jean-Michel Place, 2016, Paul Jankowski, Verdun : The Longest Battle of the Great War, Gallimard, 2013, Alexandre Lafon, La France de la Première Guerre mondiale, Arman Colin, 2016, Romain Parmentier, La bataille de Verdun : 1916, les Poilus dans l’enfer des tranchées, 50 Minutes, 2013, Philippe Pétain, La bataille de Verdun, Perrin, 2015 - Première édition : 1929, Antoine Prost, Gerd Krumeich, Verdun : 1916, Tallandier, 2015, Karl Bahm, Berlin 1945: The Final Reckoning : The Last Battle, Pen & Sword Books Ltd, 2001, Antony Beevor, La Chute de Berlin, Editions de Fallois, 2004, Georges Bernage, Berlin 1945, Heimdal, 2004, Ian Kershaw, The End : The Defiance and Destruction of Hitler's Germany, 1944-1945, Penguin Press, 1994, Tony Le Tissier, The battle of Berlin 1945, Adlard and son Ltd, 1988, Evan Mawdsley, World War II: A New History, Cambridge University Press, 2009, Philippe Richardot, Hitler face à Staline - Le front de l’Est 1941-1945, Belin, 2013, Geoffrey Roberts, Les guerres de Staline, De la Guerre Mondiale à la Guerre froide : 1939 - 1953, Delga, 2014
C'est la durée de la bataille, l'une des plus sanglantes de l'histoire avec celle de Stalingrad, en 1942. Le nombre de morts total est estim entre et millions de personnes (entre 4500). Jean Lopez, ancien officier de la Marine marchande, aujourd’hui rédacteur en chef d’un magazine de vulgarisation scientifique, est spécialiste de l’histoire de la Seconde guerre mondiale, particulièrement du conflit germano-soviétique. 48.000 assiégés tentèrent alors une sortie. Copyrights 2018 - MilkiPress, Tous droits réservés, Archives La bataille de Koursk (5 juillet – 23 août 1943) a été l'une des plus grandes et des plus sanglantes de l'histoire. Seuls 785 d’entre eux parvinrent à atteindre les lignes allemandes. Durant 12 jours, près de 3 millions d’hommes, 8 000 chars et 5 000 avions vont s’affronter dans une mêlée dantesque. 1) Stalingrad (1942-1943) : 1,1 à 1,5 million de morts, 2) Leningrad (1941-1944) : 1 à 1,2 million de morts, 6) Berlin (1945) : 195.000 à 225.000 morts, 7) Smolensk (1941) : 175.000 à 210.000 morts, 8) Moscou (1941-1942) : 160.000 à 205.000 morts, 9) Okinawa (1945) : 130.000 à 165.000 morts, 10) Budapest (1944-1945) : 125.000 à 135.000 morts, 1) Bataille de Stalingrad (juillet 1942-2 février 1943) : 1,1 à 1,5 million de morts. Les pertes des assaillants sont lourdes, et faibles leurs gains de territoire (…) La preuve est faite, de part et d’autre, qu’aucune offensive ne peut conduire à la fin de la guerre” (Pierre Miquel, 1914-1918 Hommage aux poilus et à la France en guerre), 4) Bataille de Koursk (5 juillet-23 août 1943) : 310.000 morts. La bataille opposa 4 millions de combattants sur près de 5 mois. 2) Siège de Leningrad (8 septembre 1941-27 janvier 1944) : 1 à 1,2 million de morts. Les lignes soviétiques y forment en effet un immense saillant qui s'étend sur 240 kilomètres du nord au sud et s'enfonce tel un coin de 160 kilomètres de profondeur à l'intérieur du dispositif allemand. Koursk : D’énormes pertes en hommes et en matériels. Mentions Légales Andreï Jdanov, proche conseiller de Staline et chef du parti communiste de Leningrad, exhortait systématiquement ses généraux à repousser les assiégeants : “Nous devons attaquer ! Moins connue que la bataille de Stalingrad, la bataille de Koursk constitue cependant un tournant tout aussi important et nuance l’idée selon laquelle la bataille de Stalingrad marque l’arrêt de mort de l’Allemagne nazie. Contrairement à une idée reçue, les Allemands ont frôlé la victoire. 310.000 soldats soviétiques seront capturés ainsi que 3.200 chars ; à cette époque, l’industrie russe produit 1.000 chars par mois. Les archives montrent que, durant la défense de Koursk (du 5 au 23 juillet 1943), les Soviets recensèrent 70 000 soldats morts ou mutilés, et plus de 107 000 soldats légèrement blessés ou malades. Alain Denizot, spécialiste de la Grande Guerre, évoque la singularité mémorielle entourant Verdun : “Par sa durée, son horreur, la bataille de Verdun devient un mythe, le symbole de la Grande Guerre, une entité. L’objectif du groupe d’armée Centre consistait à isoler la ville. Bataille de Koursk (1943). Du côté des forces de l'Axe, qui rassemblaient des Croates, des Hongrois, des Roumains, des Italiens, mais également des Allemands, on estime les pertes dans … Une fois la ville investie, 110.000 berlinoises seront violées. Pertes : 130 soldats - 110 000 prisonniers ; 59 canons. Cependant, par une audacieuse manoeuvre d’enveloppement, les forces de l’Axe capturèrent près d’un demi-million de soldats à Viazma et Briansk. Quand Hitler envahit l’URSS en juin 1941, la classe dirigeante britannique paria que l’Union Soviétique serait battue par l’Allemagne, mais que celle-ci sortirait tellement affaiblie du combat qu’elle tomberait facilement par la suite. Staline défie Hitler - 5 juillet - 23 août 1943, Tallandier, 2015, Geoffrey Roberts, Les guerres de Staline, De la Guerre Mondiale à la Guerre froide : 1939 - 1953, Delga, 2014. Aussi, soyons vigilants sur les erreurs subsidiaires qui se glissent dans les contenus involontairement ; toute erreur n’est pas directement assimilable à une contre-vérité, il convient d’éviter d'alimenter la théorie du complot (épidémie numérique symétrique aux fake news). Date: 28 January 2012: Source: Fichier:Battle of Kursk (map).jpg: Author: User:W.wolny: Licensing. 4) Bataille de Koursk (5 juillet-23 août 1943) : 310.000 morts L’ultime offensive hitlérienne à l’est. Plus inquiétant, certains médias traditionnels s’en font parfois le relai. Après quatre années de guerre, l’Armée rouge atteint enfin les faubourgs de la capitale allemande, assoiffée de vengeance ; les maréchaux Joukov et Koniev, mis en concurrence par Staline, déploient plusieurs dizaines de milliers de pièces d’artillerie aux abords de la cité expirante. Les secrets, inventions et pionniers de l'aviation. Ces contre-attaques rejettent la Wehrmacht sur ses lignes de départ et permettent la libération de deux villes stratégiquement importantes, Orel et Kharkov. Articles : vnements militaires - 194 La bataille de Stalingrad La bataille de Stalingrad. Le premier jour, quatorze divisions y sont envoyées dont cinq d'infanterie, huit de panzers et une dernière motorisée . Conformément au plan Barbarossa, l’Armée allemande fonça vers Smolensk, dernier verrou défensif avant Moscou. Tentons de rendre justice à une période qui ne méritait pas tant de haine. Ensuite elles s’éloignent. Yves Buffetaut, historien spécialiste des deux guerres mondiales, considère que “les racines de l’effondrement du IIIe Reich se trouvent dans la bataille de Moscou, au-delà même du bilan matériel des combats. Comme il était prévisible, l’issue de cet affrontement gigantesque fut exagérée par la suite par la propagande soviétique et minorée par la propagande nazie. La Révolution française a-t-elle commis un crime inexpiable? 3 millions d’hommes, 8.000 chars et 5.000 avions sont lancés dans la bataille ; c’est la plus grande bataille de matériel de l’Histoire. Désormais, tout professionnel se doit de vérifier systématiquement l’origine de ses informations afin de s’assurer qu’il ne s’agit pas de “fake news”. Staline somma Timochenko de lancer une vaste contre-offensive pour désorganiser les arrières allemands ; la nette supériorité tactique de la Wechmacht l’en empêcha. 2015). En cinq mois, les Alliés ont progressé de 12 kilomètres au nord de la Somme entre Maricourt et Sailly-Saillisel et 8 kilomètres au sud. Il met notamment en lumière le rôle joué par la bataille du Mious, demeurée quasi inconnue en Occident.
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